Synopsis: Dans un avenir sombre en proie à la surpopulation et à la pauvreté, l'humanité tente de fuir cette triste réalité en se réfugiant dans un jeu vidéo en ligne nommé l'OASIS. Le héros, un jeune homme nommé Wade Watts féru de l'OASIS, est à la recherche de l'easter egg dissimulé dans le jeu par son défunt créateur, et permettra à quiconque le trouvera de prendre le contrôle de ce fabuleux monde virtuel.
- La séquence Shining, où le réalisateur se décide enfin à poser son cadre, et à faire opérer un changement de registre plutôt réussi à l'histoire.
- La musique, qui a le bon goût de ne pas tomber dans la facilité de mettre trop de chansons pop-rock de l'époque.
- Des personnages secondaires bien peu explorés.
- Une première heure de film looooongue et dans laquelle j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire.
- La surabondance de références à la pop-culture des années 80-90 que Spielberg nous balance à la figure, aboutissant à une pseudo-intertextualité complètement désarticulée qui n'a ni queue ni tête.
- L'antagoniste principal que j'ai trouvé complètement raté. Ben Mendelssohn cabotine dans son rôle de méchant PDG avide et sans scrupules ( rôle qu'il commence à connaître par coeur après The Dark Knight Rises et Star Wars Rogue One ).
Le muturscore : 4.5/10. "On en attendait davantage du retour de Spielberg au genre qui a fait son succès ( et dont il a fait le succès ). Les scènes et personnages plus génériques les uns que les autres se succèdent dans un gloubi-boulga qui est parfois à la limite de l'indigeste, et aurait finalement pu être mis en scène par n'importe quel tâcheron de l'industrie."
Points forts :
- Une bataille finale qui envoie quand même du lourd, et où Spielberg démontre tout son savoir-faire de metteur en scène.- La séquence Shining, où le réalisateur se décide enfin à poser son cadre, et à faire opérer un changement de registre plutôt réussi à l'histoire.
- La musique, qui a le bon goût de ne pas tomber dans la facilité de mettre trop de chansons pop-rock de l'époque.
Points faibles :
- Un personnage principal cliché et lisse. Je sais bien que le but est de permettre au jeune spectateur de s'y identifier, mais aucun effort d'inventivité n'a été fait au niveau du personnage pour le rendre plus attachant, ou intéressant. Et ce n'est pas l'interprétation de Tye Sheridan qui va rattraper l'écriture insipide de Wade Watts/Parzival.- Des personnages secondaires bien peu explorés.
- Une première heure de film looooongue et dans laquelle j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire.
- La surabondance de références à la pop-culture des années 80-90 que Spielberg nous balance à la figure, aboutissant à une pseudo-intertextualité complètement désarticulée qui n'a ni queue ni tête.
- L'antagoniste principal que j'ai trouvé complètement raté. Ben Mendelssohn cabotine dans son rôle de méchant PDG avide et sans scrupules ( rôle qu'il commence à connaître par coeur après The Dark Knight Rises et Star Wars Rogue One ).
Le muturscore : 4.5/10. "On en attendait davantage du retour de Spielberg au genre qui a fait son succès ( et dont il a fait le succès ). Les scènes et personnages plus génériques les uns que les autres se succèdent dans un gloubi-boulga qui est parfois à la limite de l'indigeste, et aurait finalement pu être mis en scène par n'importe quel tâcheron de l'industrie."
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